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Notice d'autorité

Alphonse Levasseur

  • CL15-01
  • Personne
  • 1918-2013

Né a Vallée-Jonction en 1918. Études au Collège de Lévis de 1930 à 1940. Études au Grand Séminaire de Québec. Ordonné prêtre le 16 juin 1944. Été maître de salle et professeur. Décédé le 3 décembre 2013.

Harmonie Sainte-Cécile

  • CL16-01
  • Collectivité
  • 1879-

La fanfare du Collège prends forme en 1879 sous la supervision d'Henry-James McKernan, enseignant laïque de la tenue des livres au cours commercial. Ce britannique venu au Canada avec un régiment anglais était doté d'une excellente formation musicale duquel miliciens du Québec et maisons d'enseignement profitèrent. D'un modeste sept membres à sa création, elle nombra soixante-six instrumentalistes pour son 80e anniversaire en 1959. Depuis les années 1925 et 1926, l'Harmonie de Sainte-Cécile s'agrandit d'un corps de clairons. L'institution musicale collégiale participera aux événements du Collège de Lévis, les fêtes du directeur et du supérieur, la distribution des prix et des rubans, défilés dans les rues, les concerts sur la terrasse de Lévis et autres festivités.

Thuribe Grégoire

  • CL17-01
  • Personne
  • 1885-1980

Né le 24 novembre 1885 à Saints-Anges de Beauce. Élève au collège de Lévis (1909-1915) et au Grand Séminaire (1915-1917). Ordonné prêtre par le Cardinal L.N. Bégin en 1919. Enseignant au Collège de Lévis de 1917 à 1967. Enseignant de français, de latin et de grec. Préfets des études aux cours commerciale de 1930 à 1939. Directeur de l'Harmonie de Saint-Cécile, des sociétés Palestrina, Hermann et de la Schola de chant grégorien. Chanoine honoraire en juillet 1959. Aumônier des Soeurs de la Sainte-Famille (1960-1964). Pris sa retraite en 1967. Décédé le 19 septembre 1980 à Lévis.

Benoît Lachance

  • CL18-01
  • Personne
  • 1914-2009

Né le 28 octobre 1914. Élève au Collège de Lévis et au Grand Séminaire entre 1926 et 1936. Ordonné prêtre le 18 mai 1940. Exercé son ministère au Collège de Lévis, à Notre-Dame-de-Foy, à Sainte-Jeanne d'Arc (Lévis), à Christ-Roi (Lévis), à Saint-David-de-l'Auberivière et à Notre-Dame-de-Lévis. Frère du chanoine Jean-Paul Lachance. Aumônier militaire et des cadets entre 1939 et 1945. Décédé le 22 janvier 2009.

Armand Coulombe

  • CL21
  • Personne
  • 1913 ou 1914 - 2002

Armand Coulombe est né en 1913 ou 1914 et a grandi à Montmagny avant d’étudier en étude commerciales et classiques au Collège de Lévis de 1927 à 1936. Il entreprend ensuite ses études théologiques au Grand Séminaire de Québec de 1936 à 1940 d’où il est ordonné prêtre le 18 mai 1940. Il a enseigné au Collège de Lévis de 1940 jusqu’en 1944, moment où il a reçu son titre d’aumônier militaire. Cela lui a permis de compléter ses études en droit canonique à l’Université Laval de 1946 à 1948, ce qui l’amène à être aumônier senior le 19 avril 1948. Promu parachutiste et major en 1950, il a opéré en Corée et au Japon au sein de la 25ème Brigade d’Infanterie Canadienne entre 1952 et 1953. Ensuite, Coulombe a été aumônier dans différentes régions avant d’être directeur adjoint des aumôniers de 1962 à 1965 et lieutenant-colonel de 1962 jusqu’à sa libération le 7 janvier 1969, où il a reçu différentes décorations canadiennes dont la médaille du centenaire. Il décède le 20 janvier 2002, à l’âge de 88 ans, à Québec.

Adélard Turgeon

  • CL23
  • Personne
  • 1863 - 1930

Né à Saint-Étienne-de-Beaumont, le 18 décembre 1863, fils de Damase Turgeon, navigateur, et de Christine Turgeon.
Fit ses études au Collège de Lévis de 1874 à 1884 et à l'Université Laval à Québec. Étudia le droit au cabinet Belleau, Stafford et Belleau. Admis au Barreau de la province de Québec le 7 juillet 1887. Créé conseil en loi du roi le 26 août 1903.
Exerça sa profession à Lévis de 1887 à 1889, puis à Québec de 1889 à 1917 et fut associé notamment à Mes Ernest Roy, Louis-Rodolphe Roy et Arthur Lachance (député à la Chambre des communes de 1905 à 1917). Fut président des compagnies suivantes : Quebec Land, Laurentian Power, Standard Copper, Frontenac Realty et Normount. Vice-président de Quebec Cordage Co. et directeur de Quebec Power Co. Cofondateur du journal L'Union libérale en 1888. Membre de la direction du journal Le Soleil en 1897.
Élu député libéral dans Bellechasse en 1890, en 1892 et en 1897. Son siège devint vacant le 26 mai 1897 lors de sa nomination au Conseil exécutif. Fut réélu sans opposition à l'élection partielle tenue le 12 juin suivant. Réélu sans opposition en 1900 et en 1904. Commissaire de la Colonisation et des Mines dans les cabinets Marchand et Parent du 26 mai 1897 au 2 juillet 1901. Secrétaire de la province dans le cabinet Parent du 2 juillet 1901 au 30 juin 1902, date de sa nomination comme ministre de l'Agriculture. Démissionna du cabinet Parent le 3 février 1905, avec ses collègues Lomer Gouin et William Alexander Weir. Son siège devint vacant lors de sa nomination au cabinet Gouin. Fut réélu sans opposition à l'élection partielle du 3 avril 1905. Ministre des Terres, des Mines et des Pêcheries dans le cabinet Gouin du 23 mars au 3 juillet 1905. Ministre des Terres et Forêts du 3 juillet 1905 au 21 janvier 1909, date de sa démission comme membre du cabinet. Démissionna le 17 octobre 1907 en défiant Henri Bourassa de se présenter contre lui dans Bellechasse dans une élection partielle. Fut réélu à cette occasion; le 4 novembre 1907 ainsi qu'aux élections générales de 1908. Son siège devint vacant lors de sa nomination à titre de conseiller législatif de la division de La Vallière et de président du Conseil législatif, le 2 février 1909.
Président général de la Société Saint-Jean-Baptiste de Québec en 1908. Membre du bureau de direction de l'École technique de Québec en 1916. Président de la Commission des beaux-arts en 1922. Membre de la Commission des champs de bataille historiques du Canada.
Fait officier de l'Instruction publique de France en 1901, officier de l'Ordre de Léopold de Belgique en 1904, chevalier de la Légion d'honneur en 1904 et officier en 1928. Compagnon de l'Ordre de Saint-Michel et Saint-George (sir) en 1906. Commandeur du Royal Victorian en 1908. Membre du St. James Club, du Club de la Garnison et du Club canadien.
Décédé en fonction à Québec, le 14 novembre 1930, à l'âge de 66 ans et 11 mois. Inhumé dans le cimetière de Saint-Étienne de Beaumont, le 17 novembre 1930.
Avait épousé à Lévis, dans la paroisse Notre-Dame-de-la-Victoire, le 19 juillet 1887, Marie-Eugénie Samson, fille d'Étienne Samson, constructeur de navires, et d'Archange Labadie.

Source: Assemblée nationale du Québec. http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/turgeon-adelard-5655/biographie.html, consulté le 28 février 2018.

Charles Fitzpatrick, Sir

  • CL51
  • Personne
  • 1853 - 1942

Né à Québec, Canada-Est (Québec), le 19 décembre 1853, Charles Fitzpatrick est le fils de John Fitzpatrick et de Mary Connolly. Il fait ses études à l'Université Laval et reçoit un baccalauréat ès arts en 1873 et un baccalauréat en droit trois ans plus tard. Admis au Barreau du Québec en 1876, il pratique le droit à Québec, fondant plus tard le cabinet Fitzpatrick & Taschereau. En 1885 il est l'avocat principal du chef métis Louis Riel lors de son procès, et en 1892 il défend Honoré Mercier, premier ministre du Québec, après la chute de son gouvernement. Il est élu à l'Assemblé législative du Québec en 1890 et à la Chambre des communes en 1896, année où il est admis au Barreau du Haut-Canada. Il est solliciteur général du Canada pendant six ans avant d'être nommé ministre de la Justice et procureur général en 1902. Le 4 juin 1906, il est nommé juge en chef du Canada. Il siège à la Cour suprême du Canada pendant 12 ans avant de démissionner le 21 octobre 1918 et d'accepter la charge de lieutenant-gouverneur de la province de Québec. Le juge en chef Fitzpatrick meurt le 17 juin 1942, à l'âge de 88 ans.

Source: Cour Suprême du Canada. https://www.scc-csc.ca/judges-juges/bio-fra.aspx?id=charles-fitzpatrick [Consulté le 6 février 2020]

Félix-Antoine Savard

  • CL52
  • Personne
  • 1896 - 1982

Né à Québec, le 31 août 1896, Félix-Antoine Savard est le fils de Louis-Joseph Savard et d'Ida Gosselin.

Savard passe sa jeunesse à Chicoutimi (Saguenay), où sa famille s'est installée en 1898. Il effectue ses études primaires chez les frères maristes, entreprend le cours classique au séminaire de Chicoutimi en 1911, puis entre au grand séminaire de Chicoutimi en 1918. Professeur de rhétorique au séminaire de Chicoutimi de 1919 à 1926, il est ordonné prêtre en 1922.

Savard exerce son ministère pastoral pendant près de vingt ans. De 1927 à 1931, il est vicaire, d'abord à Bagotville (Saguenay), puis à La Malbaie. Il devient, en 1931, le curé-fondateur de la paroisse de Saint-Philippe-de-Clermont où il travaille jusqu'en 1945. Durant cette période, le prêtre s'implique dans la promotion de la colonisation de l'Abitibi, mais surtout, dans ses temps libres, inspiré par les conditions de vie des travailleurs de la forêt des régions du Saguenay et de Charlevoix, il rédige son premier roman, Menaud, maître-draveur, publié en 1937. Le succès de ce roman et les travaux amorcés à l'Université Laval le convainquent de quitter le ministère paroissial, en 1945, pour se consacrer à la vie intellectuelle. Il demeure cependant très attaché à Charlevoix et figure parmi les fondateurs, en 1965, de la papeterie Saint-Gilles.

Au début des années 1940, Savard entreprend, en compagnie de Luc Lacourcière, d'importantes enquêtes ethnologiques dans Charlevoix, en Gaspésie et en Acadie. Ils recueillent des chansons et des contes du terroir issus de la tradition populaire. Ils sont, à ce titre, des pionniers de l'enquête orale au Québec. Savard est également président de la Société du parler français au Canada de 1950 à 1955.

Invité par l'Université Laval, en 1941, à donner des cours en tant qu'assistant, il devient chargé de cours dès l'année suivante. Il est agrégé professeur titulaire en 1949, doyen de la Faculté des lettres de 1950 à 1957, et professeur émérite en 1967. Au début des années 1970, il est également attaché au Centre de recherche en civilisation canadienne-française de l'Université d'Ottawa.

Savard est membre de la Société royale du Canada à compter de 1945. Il a notamment publié Menaud, maître-draveur (1937), L'abatis (1943), La minuit (1948), Le barachois (1959), Martin et le pauvre (1959), La folle (1960), La Dalle-des-Morts (1965), Symphonie du Misereor (1968), Le bouscueil: poèmes et prose (1972), Journal et souvenirs (2 tomes, 1973-1975), Aux marges du silence (1974), et Discours (1975).

Il est décédé à Québec, le 24 août 1982. Il est inhumé à Saint-Joseph-de-la-Rive (Les Éboulements).

Source: Répertoire du patrimoine culturel du Québec. http://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=9260&type=pge#.XjwzwGhKjcs [Consulté le 6 février 2020]

Industries A.C. Davie Inc.

  • P01-01
  • Collectivité
  • 1827-1989

En 1825, Allison Davie, capitaine écossais, épouse Elizabeth Taylor, fille unique de George Taylor, maître constructeur de navires. Il s'associe à son beau-père et fonde la société Taylor-Davie qui exploitera un chantier maritime à l'embouchure de la rivière Saint-Charles à Québec à compter de 1827. En 1829, le capitaine acquiert une bande de terre le long du fleuve à Pointe-Lévy (qui deviendra Aubigny, puis Lévis) où il érige, en 1832, le premier plan de halage au Canada, d'une capacité de 500 tonnes qui fera sa renommée. La principale activité du chantier est alors la réparation de navires. Allison Davie meurt en 1836, à l’âge de 40 ans. Elizabeth Taylor son épouse aidé de son père prendra en charge le chantier Davie pendant près de 15 ans tout en élevant ses huit enfants. En 1851, George Taylor Davie, fils aîné, prendra la direction du chantier. En 1854, le chantier se spécialise aussi dans le remorquage, le sauvetage et le recyclage des navires. En 1888, l'implantation d'un chemin de fer sur le site du chantier bouleverse les activités et permet la création d'un deuxième chantier à Lauzon. En 1897, George Taylor Davie cède ses chantiers de Lévis et de Lauzon à ses trois fils. Les trois frères fondent la George T. Davie & Sons. Pendant la Première Guerre Mondiale le chantier maintient sa vocation initiale orientée vers la réparation de goélettes et de chalutiers ainsi que l'hivernage de navires en bois. Mais en 1933, les deux chantiers se séparent légalement. La Seconde Guerre Mondiale donne un nouveau souffle au chantier de Lévis grâce à un contrat d'entretien de patrouilleurs et de vedettes. Allison Cufaude Davie alors propriétaire du chantier de Lévis meurt en 1951 et cède le chantier à son neveu, M. Bossé. La même année M. Bossé vend l'entreprise à M. Paul Gourdeau qui en assurera la gestion pendant 35 ans. La Davie Brothers Ltd. est ensuite vendue à Agence Maritime Inc. en 1971, qui fusionne un an plus tard avec Logistec Corporation et prend le nom Industries A. C. Davie Inc. en 1981. En 1987, le chantier AMT Marine Inc. rachète le chantier et le nomme Équimer. Il cesse définitivement ses activités en 1989. Finalement, le site est reconnu et classé en 1990 Site d'importance nationale par la Commission des lieux et monuments historiques du Canada.

Famille Davie

  • P03-01
  • Famille
  • 1800 à nos jours

La très grande famille Davie compte plusieurs descendants. D’Allison Davie et Elizabeth Johnson Taylor, en passant par leur petit-fils George Duncan Davie. Les derniers descendants connus de cette famille sont Claire-Fleur Garneau Whitworth, l’arrière-petite-fille de George Taylor Davie et petite-nièce de George Duncan Davie, née en 1925 à Québec, ses trois fils Anthony, Peter et Michael et Brenda Delagrave petite-fille de George Duncan Davie.

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