- Index de la correspondance du fonds par Denis Racine, Gilles Lebel et Loïc Bernard.
- Biographie d’Adélard Turgeon
Né à Saint-Étienne-de-Beaumont, le 18 décembre 1863, fils de Damase Turgeon, navigateur, et de Christine Turgeon.
Fit ses études au Collège de Lévis de 1874 à 1884 et à l'Université Laval à Québec. Étudia le droit au cabinet Belleau, Stafford et Belleau. Admis au Barreau de la province de Québec le 7 juillet 1887. Créé conseil en loi du roi le 26 août 1903.
Exerça sa profession à Lévis de 1887 à 1889, puis à Québec de 1889 à 1917 et fut associé notamment à Mes Ernest Roy, Louis-Rodolphe Roy et Arthur Lachance (député à la Chambre des communes de 1905 à 1917). Fut président des compagnies suivantes : Quebec Land, Laurentian Power, Standard Copper, Frontenac Realty et Normount. Vice-président de Quebec Cordage Co. et directeur de Quebec Power Co. Cofondateur du journal L'Union libérale en 1888. Membre de la direction du journal Le Soleil en 1897.
Élu député libéral dans Bellechasse en 1890, en 1892 et en 1897. Son siège devint vacant le 26 mai 1897 lors de sa nomination au Conseil exécutif. Fut réélu sans opposition à l'élection partielle tenue le 12 juin suivant. Réélu sans opposition en 1900 et en 1904. Commissaire de la Colonisation et des Mines dans les cabinets Marchand et Parent du 26 mai 1897 au 2 juillet 1901. Secrétaire de la province dans le cabinet Parent du 2 juillet 1901 au 30 juin 1902, date de sa nomination comme ministre de l'Agriculture. Démissionna du cabinet Parent le 3 février 1905, avec ses collègues Lomer Gouin et William Alexander Weir. Son siège devint vacant lors de sa nomination au cabinet Gouin. Fut réélu sans opposition à l'élection partielle du 3 avril 1905. Ministre des Terres, des Mines et des Pêcheries dans le cabinet Gouin du 23 mars au 3 juillet 1905. Ministre des Terres et Forêts du 3 juillet 1905 au 21 janvier 1909, date de sa démission comme membre du cabinet. Démissionna le 17 octobre 1907 en défiant Henri Bourassa de se présenter contre lui dans Bellechasse dans une élection partielle. Fut réélu à cette occasion; le 4 novembre 1907 ainsi qu'aux élections générales de 1908. Son siège devint vacant lors de sa nomination à titre de conseiller législatif de la division de La Vallière et de président du Conseil législatif, le 2 février 1909.
Président général de la Société Saint-Jean-Baptiste de Québec en 1908. Membre du bureau de direction de l'École technique de Québec en 1916. Président de la Commission des beaux-arts en 1922. Membre de la Commission des champs de bataille historiques du Canada.
Fait officier de l'Instruction publique de France en 1901, officier de l'Ordre de Léopold de Belgique en 1904, chevalier de la Légion d'honneur en 1904 et officier en 1928. Compagnon de l'Ordre de Saint-Michel et Saint-George (sir) en 1906. Commandeur du Royal Victorian en 1908. Membre du St. James Club, du Club de la Garnison et du Club canadien.
Décédé en fonction à Québec, le 14 novembre 1930, à l'âge de 66 ans et 11 mois. Inhumé dans le cimetière de Saint-Étienne de Beaumont, le 17 novembre 1930.
Avait épousé à Lévis, dans la paroisse Notre-Dame-de-la-Victoire, le 19 juillet 1887, Marie-Eugénie Samson, fille d'Étienne Samson, constructeur de navires, et d'Archange Labadie.
Source: Assemblée nationale du Québec. http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/turgeon-adelard-5655/biographie.html, consulté le 28 février 2018.
Publié
Composé propre basé sur le contenu du dossier.
Ce dossier est constitué des différentes lettres de correspondance destinées ou envoyées par Adélard Turgeon. Ce dit dossier concerne les destinataires suivant : André Labbé, Hector Laferté, Mgr. Joseph-Clovis Kemener Laflamme, Philippe Landry, Charles Langelier, François Langelier, Godefroy Langlois, Ernest Lapointe, Wilfrid Laurier, Armand Lavergne, J. B. Lavoie, André Le Breton, Léon Leclerc, H. Arthur Legendre, Pamphile Lemay, François-Xavier Lemieux, Rodolphe Lemieux, James McPherson Lemoine, Blaise Letellier, Lionel-St-Georges Lindsay et J. Lionney.
Certains documents sont endommagés, voire très fragiles.
Publié
Lettre de Wilfrid Laurier adressée à Adélard Turgeon à propos de l'absence de cohésion et le climat de tension qui serait causé par les opinions exprimés par Turgeon. Laurier l'encourage à continuer et le remercie pour ce qu'il fait.
Document fragile.
Né à Saint-Étienne-de-Beaumont, le 18 décembre 1863, fils de Damase Turgeon, navigateur, et de Christine Turgeon.
Fit ses études au Collège de Lévis de 1874 à 1884 et à l'Université Laval à Québec. Étudia le droit au cabinet Belleau, Stafford et Belleau. Admis au Barreau de la province de Québec le 7 juillet 1887. Créé conseil en loi du roi le 26 août 1903.
Exerça sa profession à Lévis de 1887 à 1889, puis à Québec de 1889 à 1917 et fut associé notamment à Mes Ernest Roy, Louis-Rodolphe Roy et Arthur Lachance (député à la Chambre des communes de 1905 à 1917). Fut président des compagnies suivantes : Quebec Land, Laurentian Power, Standard Copper, Frontenac Realty et Normount. Vice-président de Quebec Cordage Co. et directeur de Quebec Power Co. Cofondateur du journal L'Union libérale en 1888. Membre de la direction du journal Le Soleil en 1897.
Élu député libéral dans Bellechasse en 1890, en 1892 et en 1897. Son siège devint vacant le 26 mai 1897 lors de sa nomination au Conseil exécutif. Fut réélu sans opposition à l'élection partielle tenue le 12 juin suivant. Réélu sans opposition en 1900 et en 1904. Commissaire de la Colonisation et des Mines dans les cabinets Marchand et Parent du 26 mai 1897 au 2 juillet 1901. Secrétaire de la province dans le cabinet Parent du 2 juillet 1901 au 30 juin 1902, date de sa nomination comme ministre de l'Agriculture. Démissionna du cabinet Parent le 3 février 1905, avec ses collègues Lomer Gouin et William Alexander Weir. Son siège devint vacant lors de sa nomination au cabinet Gouin. Fut réélu sans opposition à l'élection partielle du 3 avril 1905. Ministre des Terres, des Mines et des Pêcheries dans le cabinet Gouin du 23 mars au 3 juillet 1905. Ministre des Terres et Forêts du 3 juillet 1905 au 21 janvier 1909, date de sa démission comme membre du cabinet. Démissionna le 17 octobre 1907 en défiant Henri Bourassa de se présenter contre lui dans Bellechasse dans une élection partielle. Fut réélu à cette occasion; le 4 novembre 1907 ainsi qu'aux élections générales de 1908. Son siège devint vacant lors de sa nomination à titre de conseiller législatif de la division de La Vallière et de président du Conseil législatif, le 2 février 1909.
Président général de la Société Saint-Jean-Baptiste de Québec en 1908. Membre du bureau de direction de l'École technique de Québec en 1916. Président de la Commission des beaux-arts en 1922. Membre de la Commission des champs de bataille historiques du Canada.
Fait officier de l'Instruction publique de France en 1901, officier de l'Ordre de Léopold de Belgique en 1904, chevalier de la Légion d'honneur en 1904 et officier en 1928. Compagnon de l'Ordre de Saint-Michel et Saint-George (sir) en 1906. Commandeur du Royal Victorian en 1908. Membre du St. James Club, du Club de la Garnison et du Club canadien.
Décédé en fonction à Québec, le 14 novembre 1930, à l'âge de 66 ans et 11 mois. Inhumé dans le cimetière de Saint-Étienne de Beaumont, le 17 novembre 1930.
Avait épousé à Lévis, dans la paroisse Notre-Dame-de-la-Victoire, le 19 juillet 1887, Marie-Eugénie Samson, fille d'Étienne Samson, constructeur de navires, et d'Archange Labadie.
Source: Assemblée nationale du Québec. http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/turgeon-adelard-5655/biographie.html, consulté le 28 février 2018.
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Lettre d'Adélard Turgeon adressée à Wilfrid Laurier qui est contrarier à propos de la conduite de dénommés Béland et Godbout. Il s'adresse à Laurier dans le but de l'avertir de ce qui se passe.
Document fragile et endommagé.
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Lettre de Wilfrid Laurier adressée à Adélard Turgeon afin de lui répondre à propos d'un sujet préoccupant Turgeon. Alors, il dit de ne pas s'alarmer à ce sujet.
Document fragile.
Né à Saint-Étienne-de-Beaumont, le 18 décembre 1863, fils de Damase Turgeon, navigateur, et de Christine Turgeon.
Fit ses études au Collège de Lévis de 1874 à 1884 et à l'Université Laval à Québec. Étudia le droit au cabinet Belleau, Stafford et Belleau. Admis au Barreau de la province de Québec le 7 juillet 1887. Créé conseil en loi du roi le 26 août 1903.
Exerça sa profession à Lévis de 1887 à 1889, puis à Québec de 1889 à 1917 et fut associé notamment à Mes Ernest Roy, Louis-Rodolphe Roy et Arthur Lachance (député à la Chambre des communes de 1905 à 1917). Fut président des compagnies suivantes : Quebec Land, Laurentian Power, Standard Copper, Frontenac Realty et Normount. Vice-président de Quebec Cordage Co. et directeur de Quebec Power Co. Cofondateur du journal L'Union libérale en 1888. Membre de la direction du journal Le Soleil en 1897.
Élu député libéral dans Bellechasse en 1890, en 1892 et en 1897. Son siège devint vacant le 26 mai 1897 lors de sa nomination au Conseil exécutif. Fut réélu sans opposition à l'élection partielle tenue le 12 juin suivant. Réélu sans opposition en 1900 et en 1904. Commissaire de la Colonisation et des Mines dans les cabinets Marchand et Parent du 26 mai 1897 au 2 juillet 1901. Secrétaire de la province dans le cabinet Parent du 2 juillet 1901 au 30 juin 1902, date de sa nomination comme ministre de l'Agriculture. Démissionna du cabinet Parent le 3 février 1905, avec ses collègues Lomer Gouin et William Alexander Weir. Son siège devint vacant lors de sa nomination au cabinet Gouin. Fut réélu sans opposition à l'élection partielle du 3 avril 1905. Ministre des Terres, des Mines et des Pêcheries dans le cabinet Gouin du 23 mars au 3 juillet 1905. Ministre des Terres et Forêts du 3 juillet 1905 au 21 janvier 1909, date de sa démission comme membre du cabinet. Démissionna le 17 octobre 1907 en défiant Henri Bourassa de se présenter contre lui dans Bellechasse dans une élection partielle. Fut réélu à cette occasion; le 4 novembre 1907 ainsi qu'aux élections générales de 1908. Son siège devint vacant lors de sa nomination à titre de conseiller législatif de la division de La Vallière et de président du Conseil législatif, le 2 février 1909.
Président général de la Société Saint-Jean-Baptiste de Québec en 1908. Membre du bureau de direction de l'École technique de Québec en 1916. Président de la Commission des beaux-arts en 1922. Membre de la Commission des champs de bataille historiques du Canada.
Fait officier de l'Instruction publique de France en 1901, officier de l'Ordre de Léopold de Belgique en 1904, chevalier de la Légion d'honneur en 1904 et officier en 1928. Compagnon de l'Ordre de Saint-Michel et Saint-George (sir) en 1906. Commandeur du Royal Victorian en 1908. Membre du St. James Club, du Club de la Garnison et du Club canadien.
Décédé en fonction à Québec, le 14 novembre 1930, à l'âge de 66 ans et 11 mois. Inhumé dans le cimetière de Saint-Étienne de Beaumont, le 17 novembre 1930.
Avait épousé à Lévis, dans la paroisse Notre-Dame-de-la-Victoire, le 19 juillet 1887, Marie-Eugénie Samson, fille d'Étienne Samson, constructeur de navires, et d'Archange Labadie.
Source: Assemblée nationale du Québec. http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/turgeon-adelard-5655/biographie.html, consulté le 28 février 2018.
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Lettre d'Adélard Turgeon adressée à Wilfrid Laurier afin de lui faire part de la tension causée par la pension d'un dénommé Angers. Par conséquent, Turgeon lui demande fortement de ne pas faire ratifier une loi par le Sénat.
Document fragile et endommagé.
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Lettre de Wilfrid Laurier adressée à Adélard Turgeon. Suite au refus de la proposition de devenir sénateur, Turgeon est agacé de ne pas avoir sa place au gouvernement fédéral et Laurier lui explique que leur différent est causé par le patronage. Laurier termine en stipulant qu'il n'a favorisé personne.
Document fragile.
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Lettre de Wilfrid Laurier adressée à Adélard Turgeon afin de lui faire part de ses impressions quant à la nomination de juges. Il dit que la loi provinciale demandant un cinquième juge a Québec s'est fait sans qu'il le sache.
Document fragile.
Publié
Lettre de Wilfrid Laurier destinée à Adélard Turgeon afin de lui faire part de ce qu'il sait à propos de l'état de l'armée canadienne. Laurier lui suggère de publier sa lettre qui concerne ceci afin d'arriver à ses fins.
Document fragile.