Le fonds d’archives Lionel Saint-Georges Lindsay provient de la collection de l'OEuvre David-Déziel de la Ville de Lévis. Le corpus documentaire qui le compose relate des facettes de la vie professionnelle et parfois personnelle de Lionel Lindsay. Les documents témoignent principalement de ses réalisations comme auteur, inspecteur ecclésiastique des couvents et académies du diocèse et fondateur de la revue Nouvelle-France. Ces documents permettent ainsi d’analyser un savoir-faire intellectuel d’un homme influent de la religion catholique à la fin du XIXe siècle et début du XXe siècle au Canada.
il s'agit d'un dossier contenant une fiche cartonnée nommé « Divers brefs et formules ». Les documents consistent à certificats signés en latin, des prières, de la correspondance, des règlements, des formules d'application religieuse, et autres documentations de nature informative. Ce corpus documentaire est daté de 1856 à 1910.
Il s'agit d'une lettre pastorale annonçant l'érection de l'Université Laval daté du 8 décembre 1853. La lettre est composé par l'archevêque Pierre-Flavien Turgeon (1787-1867) et signé par le secrétaire de l'archevêché de Québec Edmond Langevin (1824-1889).
Il s'agit d'un dossier contenant une lettre de l'Académie Commerciale de Saint-Joseph de Lévis à Lionel Lindsay daté du 27 octobre 1897. La lettre est signé par J.A. Gervais et contient des réponses demandés par Lindsay dont une liste des livres employés par l'académie.
Il s'agit d'une lettre daté du 4 juin 1896 provenant du Département de l'instruction publique concernant la nomination de Lionel Lindsay en tant que membre du Bureau d'examinateur catholique au Québec.
Il s'agit de la lettre de nomination à la charge d'inspecteur scolaire de l'archidiocèse de Québec daté du 1er septembre 1897. La lettre est signé par Louis-Nazaire Bégin (1840-1925).
Il s'agit d'un lettre composé par Louis-Nazaire Bégin (1840-1925) destiné aux établissements scolaires. La lettre annonce le passage de Lionel Lindsay inspecteur ecclésiastique et insiste à une réception digne de Bégin.