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Description archivistique
Fonds Famille Davie Avec objets numériques
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Le navire Loon sur les plans horizontaux

Ce joli vapeur qui a pourtant toutes les apparences d’un yacht privé nommé Loon serait-il un bateau pilote? C’est du moins ce que semble indiquer une courte mention publiée le vendredi 20 avril 1900 dans le journal « The Chronicle » de Québec.

Selon ce quotidien, les navires entreposés pour l’hiver 1899-1900 au chantier George T. Davie & Sons ont été lancés pour la nouvelle saison de navigation. Ce sont : le remorqueur LORD STANLEY et la goélette de remorquage G.T.D., sur lesquels d’importants travaux d’entretien ont été réalisés, suivis du bateau phare Lower Traverse Lightship, le Ingomar, le bateau pilote Loon, ainsi que les bateaux Albatross, Kearn, St George et Caprice.

Il se pourrait que le journaliste du « The Chronicle » soit en erreur : Jean Leclerc, auteur de trois volumes sur le pilotage sur le Saint-Laurent, affirme qu’à cette époque, le transbordement des pilotes à Québec était confié à des entreprises privées qui utilisaient des petites embarcations à moteur. S’agirait-il alors d’une navette de service pour les océaniques de passage? Pour le moment, il n’y a aucune trace de ce vapeur dans les annales du Port de Québec, de même qu’aux Archives nationales de Québec.

D’après le « Docking Book No 1 » du chantier Geo. T. Davie, le Ingomar et l’Albatross (propriété d’un certain Renfrew) étaient des yachts privés à vapeur d’une longueur de 56 pieds. Enfin, l’Albatross et le St George sont mentionnés dans le journal comme étant inscrits au registre du Yacht Club de Québec.

Le navire Michalis échoué sur le fleuve

Il s'agit du navire Michalis échoué sur le fleuve Saint-Laurent.
La photographie a été prise de Québec et donne sur la Rive-Sud avec le Pont de Québec à droite.
La scène se passe à l'automne.

Le navire Michalis échoué sur le fleuve

Il s'agit du navire Michalis échoué sur le fleuve Saint-Laurent.
La photographie a été prise de Québec et donne sur la Rive-Sud avec le Pont de Québec à droite.
La scène se passe à l'automne.

Le navire Michalis échoué sur le fleuve

Il s'agit du navire Michalis échoué sur le fleuve Saint-Laurent.
La photographie a été prise de Québec et donne sur la Rive-Sud avec le Pont de Québec à droite et l'embouchure des rivières Chaudière et Etchemin en face.
La scène se passe à l'automne.

Le navire Michalis échoué sur le fleuve

Il s'agit du navire Michalis échoué sur le fleuve Saint-Laurent.
La photographie a été prise de Québec et donne sur la Rive-Sud avec le Pont de Québec à droite et l'embouchure des rivières Chaudière et Etchemin en face.
La scène se passe à l'automne.

Le navire Michalis échoué sur le fleuve

Il s'agit du navire Michalis échoué sur le fleuve Saint-Laurent.
La photographie a été prise de Québec et donne sur la Rive-Sud avec le Pont de Québec à droite et l'embouchure des rivières Chaudière et Etchemin en face.
La scène se passe à l'automne.

Le navire Roberval sur le plan de halage de Lévis

Il s'agit du navire Roberval reposant sur le plan de halage de Lévis.

Le Roberval (ON 104887) : ce navire est construit en 1895 sous le nom de Savoy à Montrose en Écosse par Montrose Shipbuilding & Engineering Co Ltd. Henri Menier, propriétaire de l’Île d’Anticosti, s’en porte acquéreur au coût de 130 000 francs et il est livré au Havre, France. D’une capacité de 340 tonnes, il est utilisé pour le transport de marchandises entre l'Île d'Anticosti et Québec. Enregistré dans une société anglaise du nom de Société industrielle et commerciale du Bas Saint-Laurent. Il effectue une dernière saison de navigation pour la famille Menier en 1925 qu'il a servi pendant trente ans et qui sera remplaçé en 1926 par le FLEURUS. En 1930, il est enregistré au nom de DesMonts Shipping à Montréal. Vendu à la ferraille, il restera au quai de Rimouski pendant quelques années. Le 29 août 1942, il entre en collision avec le RICHELIEU de la compagnie Canada Steamship Line. Renfloué et remis à neuf par le chantier de Sorel en 1945, on lui installe un moteur diesel et il reprendra la mer sous le nom de Roberval.
Il a été loué par Newfoundland Canada Steamship vers la fin des années 1940 et par Clarke Steamship en 1953, 1954 et 1958.

En 1946, il était immatriculé à Québec, propriété de Savoy Shipping. En 1959, il portait de nouveau le nom Savoy et en 1964, celui de Régent. En 1970, on le renomme Saba (Saba Navigation, de Sillery), puis entre 1970 et 1975, Savoie, propriété de Hauterive Navigation Inc, de Sainte-Foy.

À la gauche de celui-ci, il est possible de voir le navire le Mont Notre-Dame.

Le Mont Notre-Dame (ON 170720), construit en 1938 à Saint-Joseph-de-la-Rive par Joseph-Zélada Desgagnés et ses trois fils pour eux-mêmes. Elle arrive à Québec le 23 mai 1938 et le chantier Davie Brothers se chargea de faire l’installation de son moteur propulsif. Cette goélette a été détruite par un incendie au musée maritime de Saint-Joseph-de-la-Rive le 24 avril 1998.

À droite du Roberval, on voit les entrepôts de farine appartenant aux compagnies Ogilvie et Regal, ainsi qu'une vieille voiture noire.

Le navire Roberval sur le plan de halage de Lévis

Il s'agit du navire Roberval reposant sur le plan de halage de Lévis.

Le Roberval (ON 104887) : ce navire est construit en 1895 sous le nom de Savoy à Montrose en Écosse par Montrose Shipbuilding & Engineering Co Ltd. Henri Menier, propriétaire de l’Île d’Anticosti, s’en porte acquéreur au coût de 130 000 francs et il est livré au Havre, France. D’une capacité de 340 tonnes, il est utilisé pour le transport de marchandises entre l'Île d'Anticosti et Québec. Enregistré dans une société anglaise du nom de Société industrielle et commerciale du Bas Saint-Laurent. Il effectue une dernière saison de navigation pour la famille Menier en 1925 qu'il a servi pendant trente ans et qui sera remplaçé en 1926 par le Fleurus. En 1930, il est enregistré au nom de DesMonts Shipping à Montréal. Vendu à la ferraille, il restera au quai de Rimouski pendant quelques années. Le 29 août 1942, il entre en collision avec le RICHELIEU de la compagnie Canada Steamship Line. Renfloué et remis à neuf par le chantier de Sorel en 1945, on lui installe un moteur diesel et il reprendra la mer sous le nom de Roberval.
Il a été loué par Newfoundland Canada Steamship vers la fin des années 1940 et par Clarke Steamship en 1953, 1954 et 1958.

En 1946, il était immatriculé à Québec, propriété de Savoy Shipping. En 1959, il portait de nouveau le nom Savoy et en 1964, celui de Régent. En 1970, on le renomme Saba (Saba Navigation, de Sillery), puis entre 1970 et 1975, SAVOIE, propriété de Hauterive Navigation Inc, de Sainte-Foy.

À la gauche de celui-ci, il est possible de voir le navire le Mont Notre-Dame.

Le MONT NOTRE-DAME (ON 170720), construit en 1938 à Saint-Joseph-de-la-Rive par Joseph-Zélada Desgagnés et ses trois fils pour eux-mêmes. Elle arrive à Québec le 23 mai 1938 et le chantier Davie Brothers se chargea de faire l’installation de son moteur propulsif. Cette goélette a été détruite par un incendie au musée maritime de Saint-Joseph-de-la-Rive le 24 avril 1998.

À droite du Roberval, on voit les entrepôts de farine appartenant aux compagnies Ogilvie et Regal, ainsi qu'une vieille voiture noire.

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