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Description archivistique
Fonds Famille Davie Avec objets numériques
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Chaland suspendu

Il s'agit d'un chaland suspendu par les câbles d'une grue.
Cinq hommes travaillent dessus ; l'un d'eux est en-dessous.

Chaland

Il s'agit d'un chaland.
Plusieurs hommes travaillent dessus.

Le vapeur South amarré au quai

Il s'agit du traversier à vapeur South amarré au quai avec à sa gauche un petit remorqueur et à sa droite cinq hommes patientant sur le quai. Les hommes sont coiffés d'un chapeau et l'un d'eux porte la barbe.

Le South est le premier vapeur construit par Alexander Russell de Lévis en 1885, il est également le second traversier à aubes, utilisé entre les villes de Québec et Lévis par Quebec & Levis Ferry Co Ltd, à porter ce nom. Il est lancé le 13 mai 1885 et mis en service au cours de l’été. Il y demeurera jusqu’en 1910. Lorsque cette compagnie perd le contrat de service de traversier, elle l’utilise sur différentes lignes dont Longueuil-Montréal en 1917-1918.

Ses dimensions au registre, en pieds, sont de 130,0 de long, par 25,0 de large et par 10,0 de creux. Il a également une jauge brute de 349 tonneaux et possède un moteur à vapeur, un cylindre 26 x 96 pouces construit par E.E. Gilbert de Montréal, provenant du premier traversier South.

Son certificat original de 450 passagers passe à 430 en 1914. En 1919, il est ramené sur la grève de l’anse Veilleux à Pointe-Lévis et est démoli en 1920 après une année d’inactivité.

Le South est le traversier jumeau du North.

Le vapeur South amarré au quai

Il s'agit du traversier à vapeur South amarré au quai avec à sa gauche un petit remorqueur et à sa droite sept hommes patientant sur le quai et un chien. Les hommes sont coiffés d'un chapeau et l'un d'eux porte la barbe.

Le South est le premier vapeur construit par Alexander Russell de Lévis en 1885, il est également le second traversier à aubes, utilisé entre les villes de Québec et Lévis par Quebec & Levis Ferry Co Ltd, à porter ce nom. Il est lancé le 13 mai 1885 et mis en service au cours de l’été. Il y demeurera jusqu’en 1910. Lorsque cette compagnie perd le contrat de service de traversier, elle l’utilise sur différentes lignes dont Longueuil-Montréal en 1917-1918.

Ses dimensions au registre, en pieds, sont de 130,0 de long, par 25,0 de large et par 10,0 de creux. Il a également une jauge brute de 349 tonneaux et possède un moteur à vapeur, un cylindre 26 x 96 pouces construit par E.E. Gilbert de Montréal, provenant du premier traversier South.

Son certificat original de 450 passagers passe à 430 en 1914. En 1919, il est ramené sur la grève de l’anse Veilleux à Pointe-Lévis et est démoli en 1920 après une année d’inactivité.

Le South est le traversier jumeau du North.

Trois mâts barque norvégien secouru par un remorqueur

Il s'agit d'un trois mâts barque norvégien qui est secouru par un remorqueur et d'autres navires dont la G.T.D.

On voit cinq bateaux plus clairement : la poupe de celui complètement à gauche, le trois mâts barque norvégien, un traversier, un remorquer et la goélette de sauvetage G.T.D.

En cette fin du XIXème siècle où la transition entre les moyens de propulsion des navires s’achève, il n’est pas rare de voir des cathédrales de la mer à Québec. Ces superbes voiliers marchands non motorisés peuvent bénéficier en cas de besoin de l’aide de remorqueurs portuaires pour venir s’amarrer ou comme ici, quitter le havre et reprendre la direction de l’Atlantique.

Ainsi, une fois la cargaison chargée, le capitaine fait appel à un remorqueur qui toue son voilier jusqu’à une zone sécuritaire où les vents portants permettront d’établir la voilure. Il n’est pas évident pour un voilier de cette taille de quitter le port par ses propres moyens. Les goélettes locales, plus faciles à manœuvrer et menées par des capitaines habitués aux caprices du fleuve peuvent se le permettre. Il arrive même qu’une flotte d’une trentaine de ces côtiers quitte le Bassin Louise en même temps à destination des paroisses riveraines lorsqu’une jolie brise du sud-ouest caresse leurs mâtures.

Généralement, le remorquage s’effectue jusqu’à l’est de l’Île d’Orléans, plus précisément dans la Traverse St-Roch. Si les vents nuls ou contraires persistent, le tandem se rend aussi bas que l’île Blanche ou même les îles du Bic. Une fois les vents favorables bien établis, l’aussière de remorquage est larguée et le vaillant remorqueur revient au port, avec l’espoir d’attacher à sa poupe un voilier montant, c’est-à-dire navigant en direction de l’amont du fleuve.

On aperçoit aux extrémités gauche et droite de cette photographie la poupe du remorqueur Lord Stanley et la proue de la goélette de sauvetage G.T.D., un remarquable duo qui fait régulièrement parler de lui en matière de secours aux navires naufragés. Au centre, un trois-mâts barque marchand norvégien qui semble avoir un chargement en pontée, assisté de son remorqueur.

À l’arrière plan, près du remorqueur, un vapeur en direction de l’île d’Orléans. Il s’agit de l’Orléans (ON 107235), deuxième du nom, construit à Lévis en 1898 et qui fait quotidiennement la navette entre la Basse-Ville et l’île du même nom.

Trois mâts barque norvégien secouru par un remorqueur

Il s'agit d'un trois mâts barque norvégien qui est secouru par un remorqueur et d'autres navires dont la G.T.D.

On voit cinq bateaux plus clairement : la poupe de celui complètement à gauche, le trois mâts barque novégien, un traversier, un remorquer et la goélette de sauvetage G.T.D.

En cette fin du XIXème siècle où la transition entre les moyens de propulsion des navires s’achève, il n’est pas rare de voir des cathédrales de la mer à Québec. Ces superbes voiliers marchands non motorisés peuvent bénéficier en cas de besoin de l’aide de remorqueurs portuaires pour venir s’amarrer ou comme ici, quitter le havre et reprendre la direction de l’Atlantique.

Ainsi, une fois la cargaison chargée, le capitaine fait appel à un remorqueur qui toue son voilier jusqu’à une zone sécuritaire où les vents portants permettront d’établir la voilure. Il n’est pas évident pour un voilier de cette taille de quitter le port par ses propres moyens. Les goélettes locales, plus faciles à manœuvrer et menées par des capitaines habitués aux caprices du fleuve peuvent se le permettre. Il arrive même qu’une flotte d’une trentaine de ces côtiers quitte le Bassin Louise en même temps à destination des paroisses riveraines lorsqu’une jolie brise du sud-ouest caresse leurs mâtures.

Généralement, le remorquage s’effectue jusqu’à l’est de l’Île d’Orléans, plus précisément dans la Traverse St-Roch. Si les vents nuls ou contraires persistent, le tandem se rend aussi bas que l’île Blanche ou même les îles du Bic. Une fois les vents favorables bien établis, l’aussière de remorquage est larguée et le vaillant remorqueur revient au port, avec l’espoir d’attacher à sa poupe un voilier montant, c’est-à-dire navigant en direction de l’amont du fleuve.

On aperçoit aux extrémités gauche et droite de cette photographie la poupe du remorqueur Lord Stanley et la proue de la goélette de sauvetage G.T.D., un remarquable duo qui fait régulièrement parler de lui en matière de secours aux navires naufragés. Au centre, un trois-mâts barque marchand norvégien qui semble avoir un chargement en pontée, assisté de son remorqueur.

À l’arrière plan, près du remorqueur, un vapeur en direction de l’île d’Orléans. Il s’agit de l’Orléans (ON 107235), deuxième du nom, construit à Lévis en 1898 et qui fait quotidiennement la navette entre la Basse-Ville et l’île du même nom.

Drapeau à l'effigie des Davie

Il s'agit d'un dessin du drapeau représentant la famille Davie. Il est fait au plomb et à l'encre et la lettre "D" est inscrite en son centre.

Le vapeur S.S. Vancouver en réparation dans la cale sèche Lorne

Le paquebot Vancouver de la compagnie Dominion Line, en réparation dans la cale sèche Lorne suite à une collision au large de Pointe-au-Père durant la nuit du 9 août 1896 par temps de brume avec le vapeur Lake Ontario de la compagnie Beaver Line. L’impact fut si violent qu’il lui arracha la totalité de sa proue. La Cour de l’Amirauté britannique décida que le Vancouver était le seul à blâmer pour ce désastre, le paquebot n’ayant pas réduit sa vitesse par cette mauvaise visibilité.

Construit en 1884 par Charles Connell & Co de Glasgow, Écosse, le VANCOUVER mesurait 431 pieds de longueur et jaugeait 5141 tonneaux. Remotorisé en 1893, il pouvait atteindre une vitesse de 14 nœuds. Il fut démoli en 1910.

Hormis cette collision, il connut une carrière mouvementée tant sur le Saint-Laurent qu’en mer. Lors d’une traversée de l’Atlantique, une vague énorme s’abattit sur le navire, emportant la timonerie et la chambre des cartes. Le capitaine et le quartier-maître disparurent et plusieurs membres d’équipage subirent des blessures.

Un soir brumeux de mai 1904, vers 20:30 heures, en provenance de Liverpool à destination de Québec et Montréal avec 385 passagers à son bord, il s’échoua sur les hauts-fonds de Matane, sans toutefois subir de dommages. Le LORD Strathcona fit route sur les lieux. Rendu à la hauteur de Grosse-Île, on signala au remorqueur de rebrousser chemin puisque le paquebot s’était lui-même sorti de sa fâcheuse position tôt le matin et avait repris sa route.

Le sort s’acharna sur lui en juillet de la même année lorsqu’il s’échoua à seize milles à l’est de Sorel, en face de Yamachiche : dix remorqueurs et quatre dragues furent requis pour enfin le remettre à flot une semaine après l’accident. Il s’en tira toutefois sans dommage à sa coque et poursuivit sa route vers Liverpool.

La goélette G.T.D. soulève un petit bateau

Il s'agit de la goélette G.T.D. (première du nom) qui soulève un petit navire pour le mettre à l'eau. Plusieurs hommes aident à la tâche.

Le G.T.D., premier du nom, a été construite à Lévis en 1883, avait une longueur enregistrée de 95 pieds et une jauge brute de 195 tonneaux. Cette goélette n’était pas motorisée, mais touée généralement « à l’épaule », c’est-à-dire bord à bord vers les lieux de sauvetage par un de ses remorqueurs, le Lord Stratchona (ON 99478) ou le Lord Stanley (ON 96049). Elle a été incendiée en novembre 1905 pendant les opérations de sauvetage du vapeur Batavian de la compagnie Allan Line, échoué près de Montmagny.

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