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Il s'agit d'une lettre daté du 13 mars 1903 d'Alfred Cauchie (1860-1922) prêtre, historien belge et professeur à l'Université catholique de Louvain. La lettre porte sur un échange des périodiques la Nouvelle-France et la Revue d'histoire ecclésiastique.

Il s'agit d'une lettre daté du 13 novembre 1903 d'Honoré Julien Jean Baptiste Chouinard (1850-1928), greffier de la Ville de Québec. La lettre porte sur le style d'écriture des articles et le renouvellement à la revue Nouvelle-France.

Lettre de Pascal Poirier adressée à Adélard Turgeon afin de lui exprimer son opinion comme étant la même que Turgeon à propos du fait que le premier ministre du Québec devrait s'exprimer avec la langue française.

Il s'agit d'une lettre daté du 8 février 1904 de Narcisse-Eutrope Dionne (1848-1917). La lettre porte sur sa réponse de collaboration à la revue et des opinions sur certains articles de celle-ci.

Il s'agit d'une circulaire de l'Association des Journalistes Canadiens-français portant sur un congrès prévu pour le 25 et 26 juin 1904.

Lettre de Lord Grey adressée à Adélard Turgeon pour lui exprimer son appréciation et son attention à propos de la réputation qu'il a en tant qu'orateur. Il lui explique que, à cette époque, le plus grand problème est l'impossibilité d'unifier les forces gouvernementales et qu'il croit que Turgeon saura prendre la situation en main.

Lettre de l'adjoint d'Hector Fabre adressée à Adélard Turgeon accompagnée d'une copie de la lettre de Fabre destinée au « président du Conseil ».

Compte rendu dans une coupure de journal témoignant d’un discours d’Adélard Turgeon concernant l’absence de loi concernant la pension de retraite au Canada.

Il s'agit d'une lettre daté du 5 juin 1905 d'Alexis de Barbezieux (1854-1941) prêtre du Monastère des Pères Capucins. La lettre porte sur divers sujet dont la Nouvelle-France.

Lettre de Wilfrid Laurier adressée à Adélard Turgeon. Suite au refus de la proposition de devenir sénateur, Turgeon est agacé de ne pas avoir sa place au gouvernement fédéral et Laurier lui explique que leur différent est causé par le patronage. Laurier termine en stipulant qu'il n'a favorisé personne.