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Description archivistique
Fonds Famille Davie
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Holy Bible Psalms The Comprehensive Bible

Il s'agit d'une bible presbytérienne de 1854 appartenant à George Taylor Davie (1828-1907) et Marie Euphemia Patton (1831-1920) probablement à leur mariage en 1860. Cette bible contient plusieurs annotations et coupures de presse. Il est possible de retrouver des mentions de mariages. de naissances et de décès concernant la famille étendue des Davie entre 1860 et 1984. Certains articles portent sur le chantier maritime de la famille Davie. Certaines images des soeurs Mimi et Fleur Garneau se trouve aussi dans cette bible. Finalement, le livre religieux contient un texte dactylographié intitulé « The Origin of the " Davie Dock-Yards" ».

The New Testament Of Our Lord And Saviour Jesus Christ

Il s'agit d' un livre concernant le Nouveau Testament ayant appartenu à Mary Patton entre 1850 et 1884. Le livre contient des annotations et des coupures de presse.concernant la famille Patton daté de 1801 à 1884.

Le remorqueur Lord Stanley amarré au quai

Cette photographie du remorqueur de sauvetage Lord Stanley (ON 96049) a été publiée dans l’édition du 30 mars 1901 du quotidien « Montreal Star ». Le navire arbore le grand pavois de cérémonie et ses lettres d’identification. Cette période correspond au moment de l’achat du navire par le Ministère de la Marine et des Pêcheries du gouvernement canadien qui le rebaptisa Bayfield en l’honneur de l’officier de marine et hydrographe Henry Wolsey Bayfield (1795-1885).

Il remplaça le premier navire de ce nom, construit en 1864 à Buffalo, NY. Peu après les travaux de modifications, il heurte le quai à Toronto, perd son gouvernail et subit des dommages importants à l’arrière. Il n’amorcera son travail de relevés hydrographiques sur les Grands-Lacs qu’à compter de 1903.

À noter sur le quai les équipements utilisés par George T. Davie pour les opérations de sauvetage : bouilloires écossaises identifiées par un numéro, pompes, conduits et tuyaux.

Drapeau à l'effigie des Davie

Il s'agit d'un dessin du drapeau représentant la famille Davie. Il est fait au plomb et à l'encre et la lettre "D" est inscrite en son centre.

Le Constance, navire de patrouille

Cette photographie illustre le navire de patrouille canadien Constance qui a été construit en 1892 par Polson Iron Works, Oven Sound, Ontario pour le Ministère de la marine des pêcheries, mais a été transféré au moment de sa livraison au Service canadien des douanes. Son lancement a eu lieu le 12 novembre 1891. Ses dimensions sont de (en pieds): longueur : 115.58, largeur, 19.58, creux : 11.25 ; il a une jauge nette de 185 tonneaux et il possède une hélice actionnée par un moteur compound (18-36 x 24) de 50 NHP qui lui procure une vitesse de 11 nœuds. Il a également été repeint en noir plus tard.

Il fut opéré par le Service de la prévention des douanes et basé à Gaspé en 1897, puis retourné au Ministère de la marine et des pêcheries en 1908. Au service de la Marine canadienne de 1914 à 1919. Vendu en 1920 et utilisé comme caboteur jusqu’au début des années 1930. Loué toutefois par le Service de la prévention des douanes en 1928-1929. Retiré du registre en 1966.

Ses autres propriétaires : W.N. MacDonald, Sydey, Nouvelle-Écosse, 1919 et Margaree Steamship Co Ltd, 1927

Le navire Loon sur les plans horizontaux

Ce joli vapeur qui a pourtant toutes les apparences d’un yacht privé nommé Loon serait-il un bateau pilote? C’est du moins ce que semble indiquer une courte mention publiée le vendredi 20 avril 1900 dans le journal « The Chronicle » de Québec.

Selon ce quotidien, les navires entreposés pour l’hiver 1899-1900 au chantier George T. Davie & Sons ont été lancés pour la nouvelle saison de navigation. Ce sont : le remorqueur LORD STANLEY et la goélette de remorquage G.T.D., sur lesquels d’importants travaux d’entretien ont été réalisés, suivis du bateau phare Lower Traverse Lightship, le Ingomar, le bateau pilote Loon, ainsi que les bateaux Albatross, Kearn, St George et Caprice.

Il se pourrait que le journaliste du « The Chronicle » soit en erreur : Jean Leclerc, auteur de trois volumes sur le pilotage sur le Saint-Laurent, affirme qu’à cette époque, le transbordement des pilotes à Québec était confié à des entreprises privées qui utilisaient des petites embarcations à moteur. S’agirait-il alors d’une navette de service pour les océaniques de passage? Pour le moment, il n’y a aucune trace de ce vapeur dans les annales du Port de Québec, de même qu’aux Archives nationales de Québec.

D’après le « Docking Book No 1 » du chantier Geo. T. Davie, le Ingomar et l’Albatross (propriété d’un certain Renfrew) étaient des yachts privés à vapeur d’une longueur de 56 pieds. Enfin, l’Albatross et le St George sont mentionnés dans le journal comme étant inscrits au registre du Yacht Club de Québec.

Le vapeur S.S. Vancouver en réparation dans la cale sèche Lorne

Le paquebot Vancouver de la compagnie Dominion Line, en réparation dans la cale sèche Lorne suite à une collision au large de Pointe-au-Père durant la nuit du 9 août 1896 par temps de brume avec le vapeur Lake Ontario de la compagnie Beaver Line. L’impact fut si violent qu’il lui arracha la totalité de sa proue. La Cour de l’Amirauté britannique décida que le Vancouver était le seul à blâmer pour ce désastre, le paquebot n’ayant pas réduit sa vitesse par cette mauvaise visibilité.

Construit en 1884 par Charles Connell & Co de Glasgow, Écosse, le VANCOUVER mesurait 431 pieds de longueur et jaugeait 5141 tonneaux. Remotorisé en 1893, il pouvait atteindre une vitesse de 14 nœuds. Il fut démoli en 1910.

Hormis cette collision, il connut une carrière mouvementée tant sur le Saint-Laurent qu’en mer. Lors d’une traversée de l’Atlantique, une vague énorme s’abattit sur le navire, emportant la timonerie et la chambre des cartes. Le capitaine et le quartier-maître disparurent et plusieurs membres d’équipage subirent des blessures.

Un soir brumeux de mai 1904, vers 20:30 heures, en provenance de Liverpool à destination de Québec et Montréal avec 385 passagers à son bord, il s’échoua sur les hauts-fonds de Matane, sans toutefois subir de dommages. Le LORD Strathcona fit route sur les lieux. Rendu à la hauteur de Grosse-Île, on signala au remorqueur de rebrousser chemin puisque le paquebot s’était lui-même sorti de sa fâcheuse position tôt le matin et avait repris sa route.

Le sort s’acharna sur lui en juillet de la même année lorsqu’il s’échoua à seize milles à l’est de Sorel, en face de Yamachiche : dix remorqueurs et quatre dragues furent requis pour enfin le remettre à flot une semaine après l’accident. Il s’en tira toutefois sans dommage à sa coque et poursuivit sa route vers Liverpool.

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