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Description archivistique
Avec objets numériques
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Un atelier avec des travailleurs

Il s'agit d'un atelier situé derrière l'atelier de ferblanterie, non loin de la cale sèche Lorne. Sept travailleurs sont présents.
La scène se passe l'automne ou le printemps.

Trois navires sur les plans horizontaux (de halage)

Il s'agit de trois navires, la Corporation of Pilots, le G.T.D. et le Lord Stanley, installés sur les plans horizontaux du plan de halage en hiver. Derrière se trouve la maison des Davie, Homestead.

La goélette de sauvetage G.T.D. qui fut construite à Lévis en 1883 et qui avait une longueur enregistrée de 95 pieds et une jauge brute de 195 tonneaux. Elle a été incendiée en novembre 1905 pendant les opérations de sauvetage du vapeur Batavian de la compagnie Allan Line, échoué près de Montmagny.

Le remorqueur à vapeur Lord Stanley fut construit par D. & W. Henderson Co, à Glasgow, Écosse, en 1889 pour les opérations de sauvetage de George T. Davie.

Trois navires (P.B. no3, Rivière-du-Loup II et Lord Stanley) reposant dans la cale

Il s'agit de trois navires en cale : P.B. No 3 construit à Montmagny en 1926 pour Price Brothers Co Ltd ; à l’arrière-plan, le Rivière-du-Loup II (ex L’Île d'Orléans) construit par Davie Shipbuilding & Repairing Co Ltd en 1925 à Lauzon et à droite, le caboteur Bayfield, ex remorqueur Lord Stanley, ex navire hydrographique CGS Bayfield.

Acheté en 1945 par La Compagnie de Navigation J. de V. Ltée, il sera modifié par le chantier Montreal Dry Docks Ltd de Montréal. Il fera du cabotage sur le fleuve et le golfe Saint-Laurent, ainsi que le long des côtes américaines, le golfe du Mexique et les Antilles. Le Bayfield s’est perdu le 9 septembre 1949 à Cape St Mary’s, près de St Bride’s, Terre-Neuve. Tous les membres d’équipage étaient originaires de Lotbinière et s’en sont sortis sains et saufs.

On voit également les deux entrepôts de farine appartenant aux compagnies Ogilvie et Régal.

Trois navires (Jacques Cartier, Lanoraie II et Sea Duck) sur les plans horizontaux du plan de halage

Il s'agit du traversier Jacques Cartier ; le Lanoraie II, un navire de la Garde Côtière Canadienne construit à Sorel en 1928, renommé Yvon Simard en 1956 et probablement le yacht privé Sea Duck, reposant sur les plans horizontaux du plan de halage

Un homme prend la pose au premier plan à droite.

Trois mâts barque norvégien secouru par un remorqueur

Il s'agit d'un trois mâts barque norvégien qui est secouru par un remorqueur et d'autres navires dont la G.T.D.

On voit cinq bateaux plus clairement : la poupe de celui complètement à gauche, le trois mâts barque norvégien, un traversier, un remorquer et la goélette de sauvetage G.T.D.

En cette fin du XIXème siècle où la transition entre les moyens de propulsion des navires s’achève, il n’est pas rare de voir des cathédrales de la mer à Québec. Ces superbes voiliers marchands non motorisés peuvent bénéficier en cas de besoin de l’aide de remorqueurs portuaires pour venir s’amarrer ou comme ici, quitter le havre et reprendre la direction de l’Atlantique.

Ainsi, une fois la cargaison chargée, le capitaine fait appel à un remorqueur qui toue son voilier jusqu’à une zone sécuritaire où les vents portants permettront d’établir la voilure. Il n’est pas évident pour un voilier de cette taille de quitter le port par ses propres moyens. Les goélettes locales, plus faciles à manœuvrer et menées par des capitaines habitués aux caprices du fleuve peuvent se le permettre. Il arrive même qu’une flotte d’une trentaine de ces côtiers quitte le Bassin Louise en même temps à destination des paroisses riveraines lorsqu’une jolie brise du sud-ouest caresse leurs mâtures.

Généralement, le remorquage s’effectue jusqu’à l’est de l’Île d’Orléans, plus précisément dans la Traverse St-Roch. Si les vents nuls ou contraires persistent, le tandem se rend aussi bas que l’île Blanche ou même les îles du Bic. Une fois les vents favorables bien établis, l’aussière de remorquage est larguée et le vaillant remorqueur revient au port, avec l’espoir d’attacher à sa poupe un voilier montant, c’est-à-dire navigant en direction de l’amont du fleuve.

On aperçoit aux extrémités gauche et droite de cette photographie la poupe du remorqueur Lord Stanley et la proue de la goélette de sauvetage G.T.D., un remarquable duo qui fait régulièrement parler de lui en matière de secours aux navires naufragés. Au centre, un trois-mâts barque marchand norvégien qui semble avoir un chargement en pontée, assisté de son remorqueur.

À l’arrière plan, près du remorqueur, un vapeur en direction de l’île d’Orléans. Il s’agit de l’Orléans (ON 107235), deuxième du nom, construit à Lévis en 1898 et qui fait quotidiennement la navette entre la Basse-Ville et l’île du même nom.

Trois mâts barque norvégien secouru par un remorqueur

Il s'agit d'un trois mâts barque norvégien qui est secouru par un remorqueur et d'autres navires dont la G.T.D.

On voit cinq bateaux plus clairement : la poupe de celui complètement à gauche, le trois mâts barque novégien, un traversier, un remorquer et la goélette de sauvetage G.T.D.

En cette fin du XIXème siècle où la transition entre les moyens de propulsion des navires s’achève, il n’est pas rare de voir des cathédrales de la mer à Québec. Ces superbes voiliers marchands non motorisés peuvent bénéficier en cas de besoin de l’aide de remorqueurs portuaires pour venir s’amarrer ou comme ici, quitter le havre et reprendre la direction de l’Atlantique.

Ainsi, une fois la cargaison chargée, le capitaine fait appel à un remorqueur qui toue son voilier jusqu’à une zone sécuritaire où les vents portants permettront d’établir la voilure. Il n’est pas évident pour un voilier de cette taille de quitter le port par ses propres moyens. Les goélettes locales, plus faciles à manœuvrer et menées par des capitaines habitués aux caprices du fleuve peuvent se le permettre. Il arrive même qu’une flotte d’une trentaine de ces côtiers quitte le Bassin Louise en même temps à destination des paroisses riveraines lorsqu’une jolie brise du sud-ouest caresse leurs mâtures.

Généralement, le remorquage s’effectue jusqu’à l’est de l’Île d’Orléans, plus précisément dans la Traverse St-Roch. Si les vents nuls ou contraires persistent, le tandem se rend aussi bas que l’île Blanche ou même les îles du Bic. Une fois les vents favorables bien établis, l’aussière de remorquage est larguée et le vaillant remorqueur revient au port, avec l’espoir d’attacher à sa poupe un voilier montant, c’est-à-dire navigant en direction de l’amont du fleuve.

On aperçoit aux extrémités gauche et droite de cette photographie la poupe du remorqueur Lord Stanley et la proue de la goélette de sauvetage G.T.D., un remarquable duo qui fait régulièrement parler de lui en matière de secours aux navires naufragés. Au centre, un trois-mâts barque marchand norvégien qui semble avoir un chargement en pontée, assisté de son remorqueur.

À l’arrière plan, près du remorqueur, un vapeur en direction de l’île d’Orléans. Il s’agit de l’Orléans (ON 107235), deuxième du nom, construit à Lévis en 1898 et qui fait quotidiennement la navette entre la Basse-Ville et l’île du même nom.

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