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Description archivistique
Secteur des archives privées de la Ville de Lévis Fonds Famille Davie
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Le traversier Pilot naviguant sur le fleuve

Il s'agit du traversier Pilot voguant sur le fleuve en hiver.

En 1883, George T. Davie construit son premier traversier à vapeur pour la Quebec and Levis Ferry Company. Il ne s'agit pas d'un bateau neuf mais d'une reconstruction à partir des plans élaborés par le capitaine Robert Sample, du Prince Edouard, un traversier pour passagers endommagé par le feu. Les travaux commencent la veille de Noël et l'été suivant, rebaptisé Pilot, il est envoyé chez M. McDougall à Montréal pour y être muni de deux machines neuves à double expansion de 75 chevaux. Lorsqu'en 1910 une nouvelle compagnie obtient le contrat de service entre Québec et Lévis, il est transféré en aval sur le fleuve pour assurer le service entre Rivière-Ouelle et La Malbaie. Sa carrière prend fin au cours de l'hiver 1913-1914 lorsqu'il s'échoue à l'île Rouge.

Rencontre militaire au Parc de la Paix

Il s'agit d'une rencontre militaire qui a eu lieu au Parc de la Paix à Lévis. Le Parc de la Paix se situe entre les rues Mémorial, Champagnat et Mgr Bourget, non loin du Fort numéro 1.

On voit une multitude de tentes blanches et de gens.

Trois navires sur les plans horizontaux (de halage)

Il s'agit de trois navires, la Corporation of Pilots, le G.T.D. et le Lord Stanley, installés sur les plans horizontaux du plan de halage en hiver. Derrière se trouve la maison des Davie, Homestead.

La goélette de sauvetage G.T.D. qui fut construite à Lévis en 1883 et qui avait une longueur enregistrée de 95 pieds et une jauge brute de 195 tonneaux. Elle a été incendiée en novembre 1905 pendant les opérations de sauvetage du vapeur Batavian de la compagnie Allan Line, échoué près de Montmagny.

Le remorqueur à vapeur Lord Stanley fut construit par D. & W. Henderson Co, à Glasgow, Écosse, en 1889 pour les opérations de sauvetage de George T. Davie.

Le navire de plaisance [Athen] installé sur les plans horizontaux

Il s'agit d'un petit navire de plaisance le [Athen] installé sur les plans horizontaux du plan de halage non loin de la cale flottante.

Derrière le navire, on voit une partie de la maison Homestead, la résidence des Davie, ainsi que le principal écurie. Devant se trouve George Taylor Davie, Joseph Duclos, son contremaître, et un homme infirme.

Un atelier avec des travailleurs

Il s'agit d'un atelier situé derrière l'atelier de ferblanterie, non loin de la cale sèche Lorne. Sept travailleurs sont présents.
La scène se passe l'automne ou le printemps.

Le vapeur S.S. Vancouver en réparation dans la cale sèche Lorne

Le paquebot Vancouver de la compagnie Dominion Line, en réparation dans la cale sèche Lorne suite à une collision au large de Pointe-au-Père durant la nuit du 9 août 1896 par temps de brume avec le vapeur Lake Ontario de la compagnie Beaver Line. L’impact fut si violent qu’il lui arracha la totalité de sa proue. La Cour de l’Amirauté britannique décida que le Vancouver était le seul à blâmer pour ce désastre, le paquebot n’ayant pas réduit sa vitesse par cette mauvaise visibilité.

Construit en 1884 par Charles Connell & Co de Glasgow, Écosse, le VANCOUVER mesurait 431 pieds de longueur et jaugeait 5141 tonneaux. Remotorisé en 1893, il pouvait atteindre une vitesse de 14 nœuds. Il fut démoli en 1910.

Hormis cette collision, il connut une carrière mouvementée tant sur le Saint-Laurent qu’en mer. Lors d’une traversée de l’Atlantique, une vague énorme s’abattit sur le navire, emportant la timonerie et la chambre des cartes. Le capitaine et le quartier-maître disparurent et plusieurs membres d’équipage subirent des blessures.

Un soir brumeux de mai 1904, vers 20:30 heures, en provenance de Liverpool à destination de Québec et Montréal avec 385 passagers à son bord, il s’échoua sur les hauts-fonds de Matane, sans toutefois subir de dommages. Le Lord Strathcona fit route sur les lieux. Rendu à la hauteur de Grosse-Île, on signala au remorqueur de rebrousser chemin puisque le paquebot s’était lui-même sorti de sa fâcheuse position tôt le matin et avait repris sa route.

Le sort s’acharna sur lui en juillet de la même année lorsqu’il s’échoua à seize milles à l’est de Sorel, en face de Yamachiche : dix remorqueurs et quatre dragues furent requis pour enfin le remettre à flot une semaine après l’accident. Il s’en tira toutefois sans dommage à sa coque et poursuivit sa route vers Liverpool.

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