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La bibliothèque municipale de l’Auberivière, à la demande de la ville de Lévis, fut créée en 1979 par le Club Lions de Saint-David. Cet organisme à but non lucratif s’occupa de l’administration de la bibliothèque. En 1979, le gouvernement octroyait des subventions pour permettre l’accès gratuitement à une bibliothèque publique pour la population des villes de moins de 5 000 habitants. La population de Saint-David, à cette époque, comptait 4 700 personnes. La bibliothèque de Saint-David était affiliée à la Bibliothèque Centrale de Prêt de la région de Québec (B.C.P.). L’acquisition de livres se faisait de différentes façons. Les municipalités de 3 000 habitants et plus recevaient de la B.C.P. des livres de référence pour commencer ou compléter leurs collections de livres, le Conseil des Arts du Canada achetait plusieurs milliers de livres canadiens qui étaient distribués à travers le Canada, sans oublier les nombreux dons de livres de la population. La bibliothèque n’avait pas seulement une vocation, elle avait des projets d’activités culturelles ou d’intérêt général comme des expositions de peintures pour ainsi diversifier ses activités et attirer le plus de gens possible.

Pour faire fonctionner cette bibliothèque, plusieurs bénévoles ont donné de leur temps. On comptait huit (8) équipes de bénévoles, dont deux (2) équipes de l’âge d’or. En tout, 52 bénévoles étaient actifs. Grâce à l’aide de la B.C.P., des stages et de la formation de qualité étaient offerts à ces bénévoles.

C’est en 1990 avec la fusion de Lévis et de Lauzon que les subventions octroyées par le gouvernement s’arrêtèrent, car Saint-David comptait à présent plus de 5 000 habitants. C’est la ville qui a repris la gestion de la bibliothèque dans des nouveaux locaux inaugurés en 1990. Cette même année la dernière réunion du comité a lieu et ainsi l’existence de cette bibliothèque municipale.

Né le 28 octobre 1914. Élève au Collège de Lévis et au Grand Séminaire entre 1926 et 1936. Ordonné prêtre le 18 mai 1940. Exercé son ministère au Collège de Lévis, à Notre-Dame-de-Foy, à Sainte-Jeanne d'Arc (Lévis), à Christ-Roi (Lévis), à Saint-David-de-l'Auberivière et à Notre-Dame-de-Lévis. Frère du chanoine Jean-Paul Lachance. Aumônier militaire et des cadets entre 1939 et 1945. Décédé le 22 janvier 2009.

Né à Québec le 1er janvier 1868. Fit des études à l'École normale Laval (1882-1885) et au Collège de Lévis (1885-1887). Au Collège de Lévis, professeur de Versification (1881-1891). Ordonné prêtre le 24 mai 1891. Vicaire à Saint-Augustin (1891-1893). Au Collège de Lévis, professeur de Rhétorique (1893-1928), professeur de la tin en Rhétorique (1928-1940). Préfet des études au cours classique (1907-1913). Supérieur (1911-1917). Aumônier des Frères Maristes (1900-1940). À sa retraite (1940-1948). Chanoine honoraire en 1915. Décédé le 1er juillet 1948 à l'Hôtel-Dieu de Lévis. Bienfaiteur du Collège.

Armand Coulombe est né en 1913 ou 1914 et a grandi à Montmagny avant d’étudier en étude commerciales et classiques au Collège de Lévis de 1927 à 1936. Il entreprend ensuite ses études théologiques au Grand Séminaire de Québec de 1936 à 1940 d’où il est ordonné prêtre le 18 mai 1940. Il a enseigné au Collège de Lévis de 1940 jusqu’en 1944, moment où il a reçu son titre d’aumônier militaire. Cela lui a permis de compléter ses études en droit canonique à l’Université Laval de 1946 à 1948, ce qui l’amène à être aumônier senior le 19 avril 1948. Promu parachutiste et major en 1950, il a opéré en Corée et au Japon au sein de la 25ème Brigade d’Infanterie Canadienne entre 1952 et 1953. Ensuite, Coulombe a été aumônier dans différentes régions avant d’être directeur adjoint des aumôniers de 1962 à 1965 et lieutenant-colonel de 1962 jusqu’à sa libération le 7 janvier 1969, où il a reçu différentes décorations canadiennes dont la médaille du centenaire. Il décède le 20 janvier 2002, à l’âge de 88 ans, à Québec.

Antoine Pampalon est né à Lévis, le 27 avril 1857, d'Antoine Pampalon, maître-maçon, et de Josephte Darion. Il fit ses classiques au petit séminaire de Québec (1871- 1879), sa théologie au collège de Lévis (1879-1883), et fut ordonné en la cathédrale de Québec par le cardinal Taschereau, le 19 mai 1883. Professeur au collège de Lévis (1883- 1898) ; vicaire à Bienville deux mois (1898), aussi deux mois à Saint-Michel-de-Bellechasse (1898) ; curé du Cap-Rouge (du 23 novembre 1898 à 1918) ; aumônier des hommes à l'asile Saint-Michel-Archange de Beauport (1918-1928), puis premier aumônier de sa nouvelle école annexe La Jemerais fondée pour les arriérés mentaux (de 1928 à septembre 1929) ; aumônier de l'hospice Saint-Antoine à Québec (de septembre 1929 à sa mort). Auteur d'Une fleur canadienne ou notice biographique de son frère le Père Alfred Pampalon, plaquette in-1 2 de 200 pages (1902). Cœur tendre, incapable de la moindre malice, il a mené une vie simple et unie, mais pleine. Sa bonhomie était charmante, sa patience inlassable et sa charité compatissante. II a succombé à une affection de la gorge, après quinze jours de souffrance à l'Hôtel-Dieu du Précieux-Sang de Québec, le 15 mars 1930. Il décède à l’âge de 73 ans.

Source de la biographie : Allaire, Jean-Baptiste Arthur. Dictionnaire biographique du clergé canadien-français. Montréal : L'École catholique des sourds-muets, 1910. Tome sixième (598 pages).

Né a Vallée-Jonction en 1918. Études au Collège de Lévis de 1930 à 1940. Études au Grand Séminaire de Québec. Ordonné prêtre le 16 juin 1944. Été maître de salle et professeur. Décédé le 3 décembre 2013.